C'est la déduction la plus facile, qui deviendra désormais pour longtemps (voire pour toujours) la règle de vie des mouflets". Là on les précipitait dans de grandes fosses toutes prêtes et on les enterrait vivants. Pour les sculpteurs c'est un peu plus dur, de même que pour les musiciens. Cette différence est attribuée à la fois à la faiblesse des militants trotskistes qui abandonnaient leurs tentatives de grève précocement, mais aussi par l'absence de solidarité des différents prisonniers politiques selon leur parti d'origine (communistes, socialistes, trotskistes...), tant et si bien qu'en 1937 l'administration soit « dégagée de toute responsabilité envers ceux qui mourraient des suites d'une grève de la faim ». L'auteur déplore également le destin des prisonniers de guerre soviétique à leur retour dans la mère patrie. Ils souillent absolument tout ce qui, pour nous, est le cercle naturel des sentiments d'humanité". Les discussions idéologiques leur étaient nécessaires pour les maintenir dans la conscience d'avoir raison, sous peine d'être guettés par la folie". Lewis Gilbert intègre alors comme coscénariste l'écrivain Christopher Wood, grand fan des romans James Bond. C'étaient les fonctionnaires d'une machine qui devait traiter une certaine quantité d'individus, et non pas rechercher la vérité. Mais surtout son idéal bolchévique est mis à l'épreuve par d'enrichissantes et discrètes discussions (il y a un « mouton » dans chaque cellule) avec ses camarades et se fissure peu à peu. On traite de manière générale de tous ceux qui ont « connu » l'Occident, soit comme prisonnier de guerre, soit comme habitant d'un territoire occupé. Les conditions particulièrement dures et spécifiques de la vie au camp provoquent en partie cette unification : "Représentez-vous également que le milieu insulaire se distingue avec tant de netteté de l'ordinaire du milieu humain et propose avec tant de cruauté à l'homme ou bien de s'adapter immédiatement ou bien de périr sur le champ qu'il pétrit et malaxe le caractère de l'homme...". Plus tard, au sortir de la guerre, en 1944-1946, ce seront des nations entières ainsi que des millions de prisonniers de guerre soviétiques qui connaîtront un sort similaire. Dans la version en ligne de Grand Theft Auto V, la Stromberg est une voiture sportive armée de mitrailleuses et de missiles pouvant se transformer en sous marin, à la manière de la Lotus Esprit du film. Face aux attaques menées par le PCF, Esprit et Le Nouvel Observateur se distinguent. Jean Daniel décriant quelques mois après cette campagne de calomnies, dira que Soljénitsyne a été calomnié « avec une force, une orchestration, une insistance qui ont égaré jusqu’à nos amis socialistes »[6]. Sur le Nil, Bond examine le microfilm mais il est vite rendu inconscient par le Major qui dérobe le microfilm. Malgré la dissimulation des principales horreurs, il semble qu'il ait eu l'occasion d'avoir un aperçu de ce qui s'y passait mais choisit (par idéologie et par intérêt) de souligner "qu'on a tort de faire un épouvantail des Solovki, que les détenus y vivent remarquablement bien et s'y redressent remarquablement". Le chapitre est consacré aux grands convois de prisonniers vers les camps. Dans le dernier chapitre de la quatrième partie, Soljenitsyne décrit l’impact du système pénitentiaire sur la population d’origine soviétique. [...] Même en été les zeks sont revêtus de la cuirasse molle et grise des vestes ouatinées. Hommes et lieux y sont désignés sous leurs vrais noms ». Ils furent arrêtés en 1937 lors des grandes purges et constituèrent la légende consistant à dire qu'il ne faut s'indigner que de ces grandes purges (donc de leur injustice personnelle) alors que pour toutes les arrestations précédentes (qui furent nombreuses, cf le chapitre du premier tome intitulé Histoire de nos canalisations) ils "n'avaient pas levé le petit doigt et trouvaient tout cela fort normal". Il ne fut pas le seul. L'Archipel du Goulag traite du système carcéral et de travail forcé mis en place en Union soviétique. Une troisième chaîne est formée par la menace d'une nouvelle peine si l'évasion échouait. Malgré tout ce qui s'est passé, Anya tient toujours à tuer Bond pour venger la mort de son amant mais finit par lui pardonner. C'est à ce cri joyeux que sont accueillis Soljénitsyne et ses codétenus à leur arrivée au camp de la Nouvelle-Jérusalem. Ce chapitre se consacre aux orthodoxes du parti qui se sont retrouvés, à leur grande surprise, arrêtés et qui sont restés absolument fidèles à leur parti et à Staline. Les prises d'intérêts alimentaires aux dépens des détenus sont monnaie courante, le vol du bien commun est généralisé. La scène d'action à ski du pré-générique a été tournée en réalité sur le Mont Asgard en Terre de Baffin au Canada[11],[13]. Les membres du SMERSH de la novélisation comprennent la Bond-girl Anya Amasova et son amant Sergei Borzov (tué par Bond lors de la poursuite en ski) ainsi que le colonel-général Nikitin, un personnage évoqué dans le roman Bons baisers de Russie, et qui remplace le personnage du général Gogol (absent de la novélisation) ; Nikitin est aussi moins « sympathique » que ce dernier. Il s'est ensuite fait implanter une mâchoire d'acier. 007 secourt Amasova juste avant que l'USS Wayne ne commence à détruire l'Atlantis. Solénitsyne note ainsi que beaucoup s'improvisent scientifiques et excellent dans l'art de convaincre leurs supérieurs souvent stupides de leur immense qualité de chercheur alors qu'ils n'ont eux-mêmes aucune connaissance sur le sujet. Ces trois mots désignent des lieux disciplinaires où sont envoyés les zeks au sein de l'Archipel, afin de pouvoir leur infliger un châtiment supplémentaire si nécessaire : les Bours sont des baraquements à régime renforcés, les Zours des zones à régimes renforcés et les Chizos des isolateurs disciplinaires. A quelque distance se dressait un petit pavillon du 3e Bureau. C'est ainsi que "l'Archipel, qui était né et avait grandi aux Solovki, commença sa progression maléfique à travers le pays". Le zek méprise les autorités même si « apparemment il a très peur d'elles, il courbe l'échine quand [elles] l'engueulent ». La novélisation et le film, bien que tous deux écrits par Wood, sont quelque peu différents. Les récits d'évasions et de cavales parfois complètement rocambolesques qu'il nous livre dans la suite du chapitre lui sont généralement parvenus car le ou les principaux intéressés ont fini par être repris et ont pu donc raconter leur histoire à d'autres zeks. Une fois arrivés à destination, il est fréquent que les détenus ayant survécu au transport soient obligés de construire eux-mêmes leurs baraquements, voire les voies ferrées menant au camp et qu'emprunteront les futures vagues de détenus. Quel que soit le mode de transport utilisé, nombreux sont les détenus à mourir avant d'arriver à destination. Sa qualité d'ancien officier le conduit à être nommé "chef d'équipe de la carrière d'argile", mais ne parvenant pas à conduire ses hommes, il est rapidement rétrogradé. Il ordonne ensuite à deux assassins, Sandor et Requin aux mâchoires en acier d'aller en Égypte afin de retrouver le dispositif de pistage et de tuer quiconque se révèlera dérangeant. de faire le plus possible de dépositions fantastiques contre des innocents!". La troisième partie traite du travail et de l'extermination. Guy Hamilton était cependant le mieux placé pour réaliser le film[7], mais il préféra saisir l'opportunité de réaliser Superman en 1978, finalement mis en scène par Richard Donner[8]. ", En ce qui concerne l'habillement, les détenus politiques sont quasi-systématiquement dépouillés par les droits communs, les socialement-proches comme les appelle Soljénitsyne (ils sont appelés comme ça par les autorités soviétiques qui ne les considèrent pas, contrairement aux prisonniers politiques, comme des ennemis de classe.) [...] Par exemple, on a beau planifier les travaux de terrassement, ils tombent rarement en été, mais toujours, Dieu sait pourquoi, en automne et en hiver, dans la boue ou quand il gèle". Soljénitsyne évoque également "le sort des enfants devenus orphelins par suite de l'arrestation de leurs parents". Soljenitsyne relate l'évasion d'un prisonnier, qui publiera son témoignage : l'Ile de l'Enfer (S.A Malzagov). Leur despotisme : "Innombrables sont les exemples de décisions absurdes n'ayant qu'un seul et unique but : montrer son pouvoir." C'est à eux que s'attache ce chapitre, c'est leur mentalité que Soljénitsyne entreprend à présent de décrire. Soljenitsyne hésita longtemps quant à la pertinence de cette publication ; la police secrète précipita sa décision. Soljenitsyne passe alors en revue les principaux moyens de pression : la privation de sommeil, les insultes, l'humiliation, l'intimidation, le mensonge, les menaces sur les proches, les brûlures de cigarette, la lumière constamment allumée dans les cellules, l'enfermement dans un box tellement petit que le prisonnier doit rester debout, des stations debout ou à genoux pendant de nombreuses heures, des interrogatoires continus durant plusieurs jours et plusieurs nuits, la faim, les coups avec des matraques, des maillets, des sacs de sable qui ne laissent pas de trace, l'écrasement des testicules, etc. Marvin Hamlisch avoue s'être inspiré de Mozart pour composer Nobody Does It Better. La pré-production du film a été retardée pendant près de trois ans. De même, l'Etat proscrit la possession d'armes à feu ou d'armes blanches mais renonce à défendre lui-même ses citoyens. On peut d'ailleurs entendre D'après l'auteur, "les épreuves de la prison [leur] sont en moyenne moins pénibles" car le rationnement étant le même pour les deux sexes, les femmes sont "moins vite affaiblies par la faim". Ces droits communs comprirent que ces vagues de nouveaux détenus politiques allaient permettre leur libération. Tout simplement parce qu'elles étaient innocentes et que rien ne les prédisposait donc à résister. L'auteur s'arrête ensuite sur les véritables prisonniers politiques, ceux qui « savaient parfaitement pourquoi ils y étaient et demeuraient inébranlables dans leurs convictions. Le chantier débute dans la désorganisation la plus complète : aucun budget n'est alloué pour les outils de construction (grues, tracteurs, machines etc. », « le peuple est devenu son propre ennemi », « écolier de 16 ans qui fait une faute en écrivant un slogan - en russe, qui n'est pas sa langue maternelle », « Tirez sans cesse, et vous finirez bien par atteindre celui qu'il faut », « enregistrer quelqu'un comme article 58 est le moyen le plus simple de rayer un homme », « un évènement inouï dans l'histoire mondiale des prisons : des millions de prisonniers qui ont conscience d'être innocents, que tous sont innocents et que personne n'a commis de faute », « en ce qui concerne les condamnés appartenant aux éléments hostiles de par leur classe, […] le redressement est sans force et sans objet », « savaient parfaitement pourquoi ils y étaient et demeuraient inébranlables dans leurs convictions. Les zeks sont même par certains aspects plus unifiés que beaucoup de peuples : "Quel ethnographe nous dira s'il existe une nation dont tous les membres aient le même emploi du temps, la même nourriture, le même vêtement? Voici par exemple ce que répond un zek à propos de prisonnier qui a été libéré : « condamné à trois, tiré cinq, libéré avant terme » ou encore si on lui demande si c'est dur : « Dur seulement les dix premières années ». On fabrique sur place des grues en bois, même les roues de brouettes sont fondues sur place. Il était beaucoup plus simple d'attaquer l'Union soviétique pour son passé stalinien, et de servir par là sa propre image. [...] Les Solovkiens n'étaient pas encore pénétrés dans leur ensemble de la ferme conviction que les fours de l'Auschwitz du Nord étaient là, allumés, et que les foyers en étaient grands ouverts à tous.". Goulag (Glavnoe oupravlenie ispravitelno-trudovykh Lagerei, ou Direction principale des camps de travail) est un acronyme utilisé par l'administration soviétique pour désigner des camps de travaux forcés. Ce qui fut accordé. Les uns recroquevillés sous leur brouette qui s'est renversée sur eux, les mains dans les manches, gelés dans cette position. Par exemple le serf a des biens propres, sa maison et de quoi manger ce qui n'est pas le cas des Cinquante Huit. La prose est donc de fait inenvisageable : "Tout ce qu'on appelle notre prose des années 30 n'est que l'écume d'un lac qui a plongé sous terre". Pourtant, il reconnaît aussi que tous les étudiants auraient sans doute cédé si on avait exercé sur eux de très fortes pressions. De sorte qu'ils considèrent les détenus comme leurs esclaves personnels, prêts à se mettre au service de leur cupidité, qui est "leur trait le plus universel". Néanmoins la poésie pouvant être plus aisément apprise par coeur, elle reste une porte de sortie pour les écrivains. On y trouve par exemple un général d'aviation très imbu de lui-même persuadé qu'il est tout à fait normal pour lui de se trouver dans cette position avantageuse, un ancien gradé de la police politique qui malgré un abord très courtois et avenant a laissé derrière lui "de nombreuses fosses communes remplies de prisonniers" ou encore un vieux médecin, planqué de par sa profession, terrifié à l'idée de perdre sa place. Que signifie être un prisonnier politique en URSS avant la mort de Staline? Ce chapitre étudie la porosité qui existe aux abords immédiats des camps entre ces derniers et le monde extérieur. L'origine de ce constat est à rechercher du côté de la littérature russe qui a longtemps glorifié des figures de truands comme des êtres libres et affranchis de la société matérialiste, bourgeoise et marchande, dignes ainsi des louanges des intellectuels. En effet « quand on dort, le temps tire plus vite », c'est-à-dire que le temps de peine conscient se raccourcit. En outre, Soljenitsyne décrit le classement finement gradué des prisonniers. Comme ce rôle d'éducateur ne peut pas échoir à un ennemi du peuple, s'y trouvent assignés les socialement-proches : "il recrutait donc comme éducateurs des voleurs deux ou trois fois condamnés, et qui encore? Soljénitsyne serait ainsi un admirateur du « traître Vlassov », thème, qui est alors « inlassablement repris »[6]. Alors "qu'en 1914 les voleurs ne faisaient la loi ni dans le pays ni dans les prisons russes", la Révolution va multiplier les mesures qui vont favoriser l'émergence d'une criminalité galopante. It was a small metal box with an on/off switch and a glass panel showing a red calibrated dial. « Le cœur serré, je me suis abstenu, des années durant, de publier ce livre alors qu'il était déjà prêt : le devoir envers les vivants pesait plus lourd que le devoir envers les morts. Soljénitsyne se souvient alors qu'à l'université en 1938, on lui a proposé, ainsi qu'à ses condisciples, d'entrer au NKVD. D'autres journaux prennent le relais de L'Humanité pour dénigrer le dissident russe, ainsi de France Nouvelle ou de Témoignage Chrétien avec des articles de Maurice Chavardès[6]. Ils vont même jusqu'à "faire nourrir leurs cochons par les cuisines du camp". Les convois peuvent également se faire par voie fluviale, notamment sur l'Iénisseï, la Dvina septentrionale et l'Ob dans des conditions semblables, voire pire à cause des détenus affaiblis souffrant du mal de mer, le plancher des barges finissant alors taché de vomi. Aussi interpella-t-il le garde en demandant que l'Allemand, qui ne comprenait rien à ce qui se disait, fasse le porteur. Suit une description de différents fiascos, liés à l'incurie des autorités mais également à l'égoïsme des chefs de camps qui individuellement se contrefichent de l'intérêt collectif. Roger Moore y incarne James Bond pour la troisième fois. C'est donc un chapitre très humain où Soljénitsyne se délecte des rencontres avec ses compagnons de détention, où il en arrive à comprendre comment, pour lui, la prison peut ne pas devenir « un abîme, mais un tournant capital de (s)on existence ». Truands ils le restent dans les camps et dépouillent sans scrupule et avec l'assentiment des autorités les prisonniers politiques. Cohabitent avec ces scènes d'épouvante des éléments atypiques comme un tortionnaire juché sur un bouc ou la rédaction d'une revue satirique dans laquelle les détenus plaisantent sur leurs conditions de vie. Vient ensuite le tabac, puis le sommeil. L'Archipel du Goulag. Sont ensuite décrits les opposants qui partagent l'idéologie révolutionnaire avec les bolchéviks mais opposés à Staline : « ce furent des hommes vaillants. 1918-1956, essai d'investigation littéraire (en russe Архипелаг ГУЛаг) est un livre d'Alexandre Soljenitsyne publié en 1973 à Paris. La neige recouvre peu à peu leurs visages. Les services secrets britanniques et soviétiques les retrouvent ensuite ensemble en train de s'embrasser. À la suite d'un procès remporté par Kevin McClory face à Ian Fleming, le personnage de Blofeld ainsi que le SPECTRE ne peuvent être utilisés à l'écran. Ils considèrent les autres politiques comme des ennemis du peuple. La suite du chapitre est consacré à l'étude de plusieurs procès publics de la période pour lesquels l'accusation était représentée par Nikolaï Krylenko, dont des dossiers personnels ont pu être sauvés. Cette section « Anecdotes », « Autres détails », « Le saviez-vous ? Ensuite on les conduisait dans la cour où attendaient, prêts à partir, des chariots attelés. Puis on trouve une description des maladies les plus courantes qui peuvent toucher les détenus, notamment le scorbut, la pellagre et la dystrophie, descriptions agrémentées de détails particulièrement crus des différents symptômes. Bond tente de cacher Amasova mais cette dernière est repérée et les deux sont immédiatement amenés à Stromberg qui leur parle alors de son plan qui consiste à détruire le monde afin de recréer une civilisation sous-marine. [...] Tout ce qu'il y a de plus pénible entre les travaux pénibles, de plus insupportable entre les travaux insupportables, tout cela justement est un travail disciplinaire". Il souligne néanmoins avec insistance que malgré cela, les différences sont nombreuses et qu'elles sont "toutes en faveur du servage". Si elles ne le sont pas assez on fait rester les gens dans les cellules en sous-vêtements." Il ne l'a pas fait, cela n'avait pas d'importance pour lui. L'auteur décrit ensuite la vie dans ces sociétés. En France, à un moment où le Parti communiste français (PCF) et les compagnons de route du parti possèdent encore un poids déterminant dans les débats intellectuels, la parution de l'ouvrage de Soljénitsyne joue le rôle de « catalyseur idéologique » pour bon nombre de ces intellectuels qui doivent prendre position face au récit détaillé de la réalité du goulag[6]. Des traits de caractères communs et homogènes émergent alors naturellement : "Cette sélection donne toute latitude pour conclure que, parmi les gardiens de camps, la proportion d'impitoyables et de cruels est plus élevée que dans un groupe quelconque, pris au hasard, de la population. [...] The man did not reward Bond’s obscenity with a slap across the face. Et de plus en plus importants! Quelque part en Mer Méditerranée, deux scientifiques qui ont développé un appareil de pistage de sous-marins sont assassinés par un certain Karl Stromberg, lequel vit dans l’Atlantis, sa demeure « sous-marine ». La dernière modification de cette page a été faite le 10 avril 2021 à 16:26. On leur enfonçait quelque chose de mou dans la bouche, on leur ficelait les mains derrière le dos. Tout est fait pour provoquer l'abattement le plus total chez ces derniers en limitant leurs possibilités de se regrouper pour se défendre (en étant constamment mélangés avec les truands) et annihiler ainsi toute rébellion avant même qu'elle pût être envisagée". Les viols sont courants : "Et à la Kolyma? Il conclut le chapitre sur cette ironique célébration : "Vive notre esprit de tolérance religieuse! Les insectes nuisibles pulullent : "pour tuer les poux, on fait bouillir le linge dans la marmite à déjeuner.". Celles se déroulant à l'intérieur du pétrolier Liparus ont été tournées dans une nouvelle annexe de Pinewood spécialement créée pour l'occasion et inaugurée en 1976[12] . », « Citations », « Autour de... », ou autres, Pour améliorer cet article il convient, si ces faits présentent un, Commentaires des galeries de photographies, bonus interactif de l'édition DVD, Fascicule d'accompagnement de l'édition DVD, Saison 2 de NCIS : Los Angeles#Épisode 9 : L'Espion qui m'aimait (1/2), Séquence d'ouverture des films de James Bond, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=L%27Espion_qui_m%27aimait&oldid=181761685, Film se déroulant dans la mer Méditerranée, Film tourné sur le plateau Albert R. Broccoli 007, Adaptation d'un roman britannique au cinéma, Page utilisant une présentation en colonnes avec un nombre fixe de colonnes, Article contenant un appel à traduction en anglais, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page pointant vers des bases relatives à l'audiovisuel, Page pointant vers des bases relatives à la bande dessinée, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Enfin, Soljénitsyne s'indigne que ces criminels n'aient pas été jugés. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Soljénitsyne offre de nombreux exemples de condamnations d'adolescents à des peines de plusieurs années de camps pour des vétilles. dans les gisements à ciel ouvert de la Kolyma, traîner à la bricole des caisses de roche extraite? L'auteur estime qu'il aura couté la vie à 250 000 personnes. Écrit de 1958 à 1967 dans la clandestinité, l'ouvrage ne se veut ni une histoire du goulag ni une autobiographie, mais le porte-parole des victimes des goulags : il est écrit à partir de 227 témoignages de prisonniers ainsi que de l'expérience de l'auteur. Il raconte également sa rencontre avec Nikolaï Timofeïev-Ressovski dans une prison moscovite, et d'une manière plus générale la manière dont se transmettent les nouvelles d'une prison à l'autre par le biais des conversations entre détenus qui colportent ainsi les informations au gré de leurs transferts. Un Chizo n'est pas forcément une cellule mais doit répondre à ce cahier des charges : froid, obscur, humide, famélique. Il rappelle en préambule l'importance de la théorie du redressement par le travail : le système judiciaire soviétique ne repose pas sur l'idée de la faute ("il ne saurait exister de faute individuelle, il existe uniquement une causalité de classe") mais sur la notion du châtiment comme "mesure de défense sociale" : le prisonnier doit, par un travail rédempteur, participer à la construction du socialisme et se laver de ses péchés bourgeois. »). Cet état d'esprit se cristallise dans des proverbes zek : « Ne fais pas aujourd'hui ce que tu peux faire demain » ou encore « ne fais pas le travail, ne fuis pas le travail ». L'auteur rapporte qu'ils s'organisent en bandes qui pillent et humilient les détenus les plus vulnérables, souvent bien plus âgés qu'eux. Elle a été publiée en 1977 au Royaume-Uni sous le titre de James Bond, The Spy Who Loved Me et en 1977 en France, avec une traduction de France-Marie Watkins chez Julliard puis Presses Pocket en 1978, sous le titre de L'espion qui m'aimait. Sous les obus et sous les bombes, je te demandais de me conserver en vie. Dans la droite ligne des sections culturelles et éducatives, notons l'existence de "tribunaux de camarades" qui "à partir de 1928 [...] se mirent à examiner des cas d'absentéismes, de simulation, de manque de soin avec l'outillage etc." Les prisonniers sont incessamment soumis à l'action éducative : "des haut-parleurs au sommet de chaque poteau et à l'intérieur de chaque baraque. Ils se déclarent rapidement auprès des autorités comme étant de véritables communistes et profitent ainsi de rations supplémentaires, dont d'autres sont évidemment privés : "le jour il mange une ration volée et le soir lecture de Lénine! Contrairement à l'histoire qui ferait des années 1937-38 le seul moment-clé des arrestations - les Grandes Purges -, il indique que ce « flot » n'a été « ni le seul, ni même le principal, mais peut-être seulement l'un des trois plus grands qui ont distendu les conduites sinistres et puantes de notre réseau de canalisations pénitentiaires ». L'arbitraire est alors la norme. En ce qui concerne la spiritualité, « il est dans l'Archipel une religion constante et quasi universelle, c'est la foi dans ce qu'ils appellent l'amnistie. En effet les droits communs sont socialement plus proches de l'idéal socialiste qu'un ennemi du peuple condamné pour l'article 58. Ainsi Piotr Iakoubovitch raconte-t-il avoir été convoyé séparément et avec davantage d'égards que les détenus de droit commun, avant lui Alexandre Radichtchev avait eu droit à toutes les fournitures nécessaires pour son trajet vers son lieu de détention. "Tous les besoins [se font] dans la cellule même, sans sortir pour aller aux cabinets.

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