Oui, ton cœur a supporté bien des maux ! Ferreus profecto es. Qui est Homère ? Equidem tua ferrea credam Pectora, nunc una paulum hic assiste, quiescant Hæ lachrimæ, pater infelix, quid fundis inanes Conquestus ? Monarque déplorable, à mes vaisseaux sanglants, Comment avez-vous pu porter vos pas tremblants, Et vous exposer seul, par une noble audace, Aux yeux du destructeur de votre illustre race ? d’Homère[2. Sic Diis placitum : tristissima fato Hæc data sors homini, ut miseris in luctibus ævum Exigat, at nullos Superi novere dolores. Les dieux ont voulu que les jours des misérables mortels fussent tissus de disgrâces ; seuls ils jouissent d’un bonheur parfait. » — Passage dans la traduction de François Du Souhait (XVIIe siècle), « Ah ! Tome II, Jacqueline de Romilly évoquant Homère, sur les ondes de France Culture, Maurizio Bettini évoquant Homère, dans sa conférence au Collège de France, Sylvain Tesson évoquant Homère, sur les ondes de France Inter, Philippe Brunet et Jean-Pierre Siméon évoquant «, Achille (mythologie grecque) dans la littérature, féminité (psychologie) dans la littérature, Nestor (mythologie grecque) dans la littérature, Pénélope (mythologie grecque) dans la littérature, Ulysse (personnage légendaire) dans la littérature. Ainsi, de ce mélange de sensibilité et de fureur, de férocité et de pitié, de cet ascendant qu’on aime à voir à un homme sur les autres hommes, et de ces faiblesses qu’on aime à retrouver dans ce qui est grand, se forme le caractère le plus poétique qu’on ait jamais imaginé », dit La Harpe (p. 58). Malgré tous nos regrets, Sachons en notre cœur renfermer notre peine ; La douleur est amère, et la plainte est bien vaine. » — Passage dans la traduction latine d’Andreas Divus (XVIe siècle), « Ah miser, certe jam multa mala pateris tuo in animo. C’est un cœur de fer qui t’anime ! Mais repose-toi sur ce siège, et, quelle que soit notre douleur, renfermons-la dans notre sein ; nous nous livrerions vainement aux plaintes amères. malheureux ! Smooth hardcover.Condition: Very good. Assieds-toi sur ce siège, et laissons tout à fait, malgré notre affliction, reposer nos douleurs au fond de notre cœur, car les larmes qui glacent n’ont aucune efficace. Reposez-vous, vieillard, et calmez vos esprits, Au fond de notre cœur, endormons les ennuis. Citations d'Homère ​ - Poète grec du VIIIème siècle avant J-C, Homère est traditionnellement représenté comme un vieil... Homère : biographie du poète grec de l'Iliade et l'Odyssée, Horace : biographie courte du poète latin, auteur des Odes, Euripide : biographie courte de l'auteur de Médée et Hippolyte, Émile Verhaeren : biographie du poète auteur des "Villes tentaculaires", Virgile : biographie courte, dates, citations, William Blake : biographie courte, dates, citations, Pablo Neruda : biographie courte, dates, citations, Solon : biographie courte, dates, citations, Francesco Pétrarque : biographie courte, dates, citations, Eschyle : biographie courte du dramaturge, fondateur de la tragédie, Sylvia Plath : biographie d'une des plus célèbres poétesses, Ovide : biographie du poète latin, auteur du poème "Les Métamorphoses", Thomas Hardy : biographie courte, dates, citations, Federico Garcia Lorca : biographie courte, dates, citations, Alexandre Pouchkine : biographie courte, dates, citations, Khalil Gibran : biographie courte, dates, citations. Que nous servent les cris, quand le sort nous outrage ? Comment avez-vous osé venir seul vers les vaisseaux des Grecs, et paraître aux yeux d’un homme qui vous a tué tant de fils, et de si courageux ? Les historiens datent cet événement mythique environ quatre siècles avant que l'Iliade apparaisse. » — Passage dans la traduction de Pierre-Louis-Claude Gin (XVIIIe siècle), « Ô prince infortuné ! Viens, viens t’asseoir sur ce trône ; laissons au fond de nos cœurs reposer nos ennuis ; d’inutiles larmes ne changeront point le cours de nos destinées. Gallimard, coll. Sus, viens te reposer, Assis-toi et laissons nos douleurs s’apaiser : Il n’y a nul profit en nos plaintes amères : Les Dieux ont commandé aux Parques filandières De filer tel destin aux hommes malheureux Qu’ils vécussent en peine et travaux rigoureux : Eux vivent sans souci, et rien n’est qui leur nuise… » — Passage dans la traduction d’Hugues Salel et Amadys Jamyn (XVIe siècle), « Hélas !… que de malheurs vous poursuivent !