0000019149 00000 n Generally, when the participant was physically closer to the learner, the participant's compliance decreased. In Milgram's first set of experiments, 65 percent (26 of 40) of experiment participants administered the experiment's final massive 450-volt shock,[1] and all administered shocks of at least 300 volts. Cette expérience évalue le degré d'obéissance d'un individu devant une autorité qu'il juge légitime et permet d'analyser le processus de soumission à l'autorité, notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience au sujet. Toutes ces actions visent à faire baisser le niveau de tension. h�b```������(��������Ad}R(�� �k00�$l= U�����m���=O��Mݒj,�B%�*�e�ǩ��=E�^ro����h`PR�� F e 3Y�$� -�r`> ���� �xa}�p��>�����3��}���X\�� ј��#� �jyF&�A"@wiSF� ��K ^E| Additionally, participants were screened by a clinical psychologist before the experiment began, and those found to be at risk of a negative reaction to the study were deemed ineligible to participate. France Télévisions produit en 2009 le documentaire Le Jeu de la mort mettant en scène un faux jeu télévisé (La Zone Xtrême) reproduisant l'expérience de Milgram. Milgram, S. (1965) Some Conditions of Obedience and Disobedience to Authority. Yale University Press, New Haven. 0000027197 00000 n One cried from emotion when he saw the student alive, and explained that he thought he had killed him. However, Milgram's conclusions about humanity's willingness to obey authority figures remain influential and well-known. Some participants deceived the experimenter by pretending to continue the experiment. An excellent presentation of Milgram�s work is also found in Brown, R. (1986). Milgram also combined the effect of authority with that of conformity. Others have argued that the ethical debate has diverted attention from more serious problems with the experiment's methodology. The shocks weren't real, but study participants were made to believe that they were. One of his classmates was future social psychologist Philip Zimbardo. University of California. Dans le contexte de la suspension de la convention de Genève aux États-Unis suite aux attentats du 11 septembre 2001 et de la mise en place de techniques d'interrogatoires renforcées (désormais qualifiées de torture par l'administration Obama), une méta-analyse des résultats de Milgram a démontré que les sujets qui avaient désobéi à l'autorité n'avaient pas tant réagi à la souffrance qu'à la première demande de la victime de faire cesser l'expérience, à 150 V. La capacité du sujet à percevoir chez sa victime un droit capable d'invalider le droit de l'autorité de conduire son expérimentation serait l'élément nécessaire à la désobéissance, tandis que l'escalade de la souffrance, de nature quantitative et graduelle, n'amènerait pas de changements cognitifs suffisants[19]. Il se place dans un cadre évolutionniste et conjecture que l'obéissance est un comportement inhérent à la vie en société et que l'intégration d'un individu dans une hiérarchie implique que son propre fonctionnement en soit modifié : l'être humain passe alors du mode autonome au mode systématique où il devient l'agent de l'autorité. (In fact, the experimenter was indeed correct: it was all right to continue giving the "shocks"—even though most of the subjects did not suspect the reason. Le sujet est prié d'annoncer à haute voix la tension correspondante avant de l'appliquer. 0000006665 00000 n "[22], In 2012 Australian psychologist Gina Perry investigated Milgram's data and writings and concluded that Milgram had manipulated the results, and that there was "troubling mismatch between (published) descriptions of the experiment and evidence of what actually transpired." Après des études en sciences politiques au Queens College de New York (1950-1954), il mène à bien un doctorat en psychologie sociale à Harvard (1954-1960) sur le thème du conformisme, sous la supervision de Solomon Asch. Cette expérience est devenue un topos dans les discours sur l'obéissance et la soumission volontaire à l'autorité ainsi que dans des discussions plus abstraites, sur les limites de la notion de libre arbitre. Selon elle, « l'expérience où Stanley Milgram créa, au nom de la science psychologique, les conditions où des individus normaux allaient devenir des bourreaux » car « la question éthique, ici, est toujours en même temps une question technique, […] l'expérience dite de Milgram n'a pas produit de témoins fiables », d'autant que « les sujets-bourreaux de Milgram se savaient au service de la science, et ce savoir a pour conséquence que l'expérience, qui était censée se borner à mettre en évidence un comportement, a sans doute contribué, sur un mode incontrôlable, à le produire »[12]. During this process, whenever participants expressed hesitation about continuing with the study, the experimenter would urge them to go on with increasingly firm instructions, culminating in the statement, "You have no other choice, you must go on." [1] In a later variation of the experiment, the confederate would eventually plead for mercy and yell that he had a heart condition. Milgram repeatedly received offers of assistance and requests to join his staff from former participants. Il mentionne souvent le procès d'Adolf Eichmann.