Ame sensible d'abstenir. Please enter your email address and we will email you a new password. Dans The Last Face, sélectionné au festival de Cannes 2016, on tombe malheureusement dans la caricature la plus radicale, entre ralentis, histoire d'amour pour ados et vision de l'humanitaire complètement démente. The quiveringly earnest tone of their interactions is uproariously misjudged, meaning that as the characters grow more serious, the viewer grows more mocking. Si ce n'était pas du premier degré, ce serait à hurler de rire. Ce mélodrame sur fond d’intervention humanitaire est une succession de clichés désolants. Tous les acteurs donnent de leur personne pour être totalement à côté de la plaque, ce qui rend toute émotion impossible. If you really take the message of the movie to heart, it just forces you to acknowledge that the story — to quote Humphrey Bogart — doesn’t amount to a hill of beans.”, “[Penn’s] fifth feature, from a script by Erin Dignam loaded with platitudinous dialogue and shallow psychology, is arguably Penn’s first directorial outing that has pretty much nothing going for it. Characters are undeveloped, dialogue is platitudinous and insincere, and even the leading roles are one-dimensional. La forme ne sauve rien. Les acteurs sont très peu aidés par une écriture qui sent le vite fait, Charlize Theron donnant une impression de planer tout le long, à la manière d'une groupie qui aurait trouvé son beau docteur catalan au milieu des camps de réfugiés. Lire ses 10 critiques, Suivre son activité The cast make cod-profound statements about the conflict (‘Save them for what? Revue de presse | Sa bienpensance sert sans doute longtemps la vision du monde très auto-satisfaite de l'Amérique . Une histoire d'amour nait entre un homme et une femme au milieu de vicissitudes de l'humanitaire en Afrique. On retiendra avant tout l'action de ces médecins urgentistes qui, au péril de leur vie, n'ont qu'un but : sauver des vies humaines. Lire ses 4 critiques, Suivre son activité D'autant que critiquer le fait d'émettre une critique est un paradoxe digne des pires scénarios de voyage dans le temps. Il ne fait aucun doute que les médecins qui opèrent dans ce genre de conflits trouvent une idylle pour palier à la violence de leurs quotidiens, l'histoire de The Last Face a déjà du avoir des précédents mais c'est la manière de traiter l'histoire qui se révèle dérangeant notamment à travers ceux qui l'incarne. Et c'est comme cela sur beaucoup de passages du film qui vient réduire le malheur humain en toile de fond d'une amourette adolescente et mal écrite. This supposedly brilliant doctor is a galumphing man-child who thinks it’s hilarious to zip up a car window on Wren’s head and then drive off as she side-runs beside the car, face wedged tight, as he chuckles with delight. Penn does the script no favours by treating each exchange like it is the most portentous event in human history. un capharnaüm scénaristique hallucinant dans lequel Penn mélange ravages de la guerre (membres arrachés, geysers de sang, césarienne en gros plan) et ceux de l’amour (et je crie, et je pleure, et je t’aime). ‘The Last Face’ was greeted with jeers at its premiere Cannes showing, and that’s because no matter how “well-meaning” a director may be, there’s something inherently eye-rolling about being asked to care about the tragedy of African children through the POV of two lovelorn glamourpusses. A cringe-inducing, self-serving mess. Javier Bardem Sean Penn‘s “The Last Face” is going to need a binding UN resolution to keep the critics from tearing it apart any worse than they already have. Le reste du casting par contre n'arrive pas à suivre la cadence, Adèle Exarchopoulos reste dans la prestation vénère qui la caractérise, elle ne fait pas évoluer à son jeu et n'est pas aidée par un personnage honteusement écrit. 101 abonnés Mais trop souvent on assiste à une remise en question du principe même de la critique. Incompréhensible! Le film, dont la meilleure scène délivre un message d'une naïveté confondante, s'achève avec Madame Dior qui, après avoir passé tout le film à leur caresser la tête comme à des lapins, explique en sanglotant que les réfugiés africains sont de vrais êtres humains... "The Last Face" touche du doigt ce que le cinéma peut produire de plus répugnant et inacceptable. Dommage qu'il se contente de passer en boucle la même chanson des Red Hot Chili Peppers pour faire sa B.O., se qui se montre vite agaçant. Qui sommes-nous | 26 abonnés Sean Pen nous offre une ode à l'humain et vous critiquez ça ? Surtout que le film est réalisé par Sean Penn qui n'avait pas connu de faux pas jusque là et qui a offert de très bons morceaux de cinéma comme The Indian Runner ou Into the Wild en passant par The Pledge. and to receive email from Rotten Tomatoes and Fandango. Cette confusion de genre romantico gore par un montage alternant entre opération sur le terrain et retour à la vie normale est assez maladroite car elle place le spectateur à distance, rendant le film au final assez superficiel. Oscar-winning actors can't save this movie, which muddles through a dismayingly impressionistic first half-hour, before settling into a standard star-crossed romance. Montrer l'amour malgré la mort aurait pu avoir un certain intérêt si les personnages féminins n'étaient pas totalement réduites à ça. All rights reserved. Lire ses 1 364 critiques, Suivre son activité It’s unfortunate that Penn seems to think this half-baked approach does any service to its subject matter. Paul Allen's yacht party made a comeback this year with a more upscale crowd than recent years: Mick Jagger, fellow rock royalty in the form of Elvis offspring Riley Keough, Kate Hudson, recent Oscar winner Mark Rylance, Kristen Stewart, Heidi Klum, and the host played Pink Floyd guitar solos partied at sea.