Excellent. Ici peu importe la vraisemblance, tout repose sur le rythme et sur l'énergie qui semble inépuisable de Belmondo. Retrouvez toutes les dernières critiques sur le film Les Tribulations d'un Chinois en Chine, réalisé par Philippe de Broca avec Jean-Paul Belmondo, Ursula Andress, Valérie Lagrange. 499,00 EUR. J’ai voulu faire un super-Barnum », Il s'agit plutôt, selon les clauses du contrat, d'une assurance-décès plus que d'une assurance-vie, mais le droit de la, Centre national du cinéma et de l'image animée, Le Capitaine Nemo et la ville sous-marine, Voyage au centre de la Terre 2 : L’Île mystérieuse, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Les_Tribulations_d%27un_Chinois_en_Chine_(film)&oldid=173873101, Film avec une musique composée par Georges Delerue, Page pointant vers des bases relatives à l'audiovisuel, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Après le fort succès public de "L'homme de Rio",Philippe de Broca et Jean-Paul Belmondo se sont rapidement retrouvés pour une nouvelle aventure exotique.Après le Brésil,le bondissant acteur et ses acolytes partent tourner à Hong-Kong,au Népal et en Malaisie!Belmondo s'éclate à exécuter des cascades de plus en plus dingues,et même les instants de repos tournent à l'absurde avec un Bébel très physique.L'histoire est anecdotique(un milliardaire suicidaire qui ne veut plus mourir depuis qu'il a rencontré une chanteuse de cabaret,alors que les tueurs qu'il a engagé ne cessent de le poursuivre),prétexte à une successions de péripéties enlevées,de farces absurdes,et d'interprétations égrillardes.Ursula Andress,qui a alors une aventure avec Belmondo,joue déjà de son image d'icône glamour,et Jean Rochefort est un valet fort amusant.Dans "Les Tribulations d'un Chinois en Chine"(1965),on a l'impression de se retrouver dans un album de Tintin coloré et frappadingue.Dommage que ce rythme trépidant finisse par fatiguer,notamment car toute vélléité artistique est vaine. Lire ses 14 critiques, Suivre son activité Bien qu'Alexandrine se montre plutôt intéressée par les aventures d'Arthur, elle semble se désintéresser de ses tentatives de séduction. Le précepteur va alors tenter de tuer Arthur mais ce dernier qui a soudain retrouver goût à la vie va alors tenter d'échapper aux nombreuses tentatives de meurtre ce qui va l'embarquer dans de folles mésaventures ... Ils tentent de rejoindre le couvent de M. Goh à pied, mais les difficultés de la route et les poursuivants ne facilitent pas leur périple ; ils finissent tout de même par arriver enfin au couvent, au pied de l'Everest. Ex. Les Tribulations d’un Chinois en Chine est une excellente comédie bien dans son temps, avec tout ce que ça implique : les cascades de Rémy Julienne, réglées comme une partition, des trucages aujourd’hui très dépassés (accélérer la cascade, tourner à l’envers, merci mais bon, en 2013, ça se voit et c’est gênant. C’est vraiment dommage, car tout le reste est parfait, du score de Georges Delerue, au sentiment de démesure de l’intrigue, jouissif à souhait, en passant par les gags, hilarants. 41 abonnés Lire ses 4 430 critiques, Suivre son activité ou Faire une offre. Après le succès de « l’homme de Rio » qui avait complètement révélé De Broca et Belmondo comme réalisateur et acteur de films d’action, la tentation était grande de remettre le couvert en reprenant les mêmes ingrédients. Après l'excellent "L'homme de Rio", De Broca et Belmondo remette le couvert pour de nouvelle aventures s'inspirant librement d'un roman de Jules Verne et des Aventures de Tintin Un joyeux divertissement fort drolatique et réjouissant. 8 abonnés Rien d'autre à dire sur un film banal. 53 abonnés L'équilibre entre action et calme fonctionnaient contrairement à ce film ci. Après L’Homme de Rio, Philippe de Broca essaya de refaire le même coup avec Jean-Paul Belmondo et de beaux paysages, pour un film d’aventures familial et amusant. Je ne comprend donc aucune admiration béante pour la sortie de ce blu-ray baclé et honteux. Jean-Paul Belmondo parait un peu moins inspiré et donc un peu plus éteins. « Même si les enfants l’ont aimé, je n’aime pas beaucoup ce film : il y en a trop. Une petite coincidence entre le pénom et la ville... Sinon dans les pays nordiques on utilise beaucoup le diminutif ULLA.