Geneanet utilise des cookies à des fins de personnalisation de contenu dans ses différents services. mention vous concernant ou concernant vos enfants contemporaine et filiative de l'Homo Farida Khelfa naît le 15 mai 1962 dans la région du Rhône. Jusqu'à sa majorité, elle est considérée comme « fugueuse »[4]. Ensuite, on la vit directrice de studio auprès de Gaultier et d'Alaïa. Fraternelle, Elle avait l'air renfrognée alors qu'en fait elle était complètement flippée, une des personnes les moins sûres d'elles que j'aie pu rencontrer.» Goude confirme : «Elle se dénigrait tout le temps, se trouvait sincèrement moche. Elle fugue à 16 ans. Même le cas Carla ne la voit pas ciller : «Non, je n'ai pas été surprise par ce mariage, vu que nous sommes amies intimes. Là, je viens de finir Dossier K de Kertész : j'ai tout lu en trois ans.». Je n'ai compris que bien plus tard certaines de ses souffrances, car elle ne se plaint jamais.» Jean-Paul Goude : «Farida a énormément d'humour et de sensibilité ; en même temps elle est implacable, à son endroit comme envers les autres.». Depuis lors, son parcours a connu très peu de temps morts. Farida Khelfa, née le 23 mai 1960 dans le 2e arrondissement de Lyon (Rhône), est une actrice, réalisatrice de documentaires et ancien mannequin franco-algérienne. C’est là qu’elle rencontre Thierry  Mugler et Jean-Paul Goude dont elle sera la muse. Avant de trouver sa place au sein de la nouvelle élite parisienne et dans ses salons feutrés de Schiaparelli. Farida Khelfa en 9 dates 1962 : Naissance à Lyon. Carla et Nicolas Sarkozy, main dans la main dans la tempête judiciaire, PHOTOS – Noémie Lenoir, Tina Kunakey, Noémie Lenoir… les plus beaux décolletés du gala de l’amfAR, Musée Galliera : La mode… À fleur de peau. Farida Khelfa - La biographie de Farida Khelfa avec Gala.fr D'origine algérienne, née à Lyon, celle-ci fuguait pour rejoindre ses soeurs à Paris. L'Arbre en Ligne utilise le logiciel Geneweb (version 7.0). «Ouh, on va dire qu'on va zapper ça, hein ?» Goude, qui l'aperçoit la première fois faisant la physionomiste aux Bains Douches en 1982, décrit «une fille incroyable, sans limites», qui peut éconduire Bowie comme on chasse une mouche. 1993 : Dernier défilé, chez Azzedine Alaïa. Deux cents personnes sont invitées, dont le designer Philippe Starck témoin du marié avec Louboutin, le chanteur Mick Jagger, le décorateur Vincent Darré, Bernadette Chirac, le philosophe Bernard-Henri Lévy et Arielle Dombasle, l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy et son épouse Carla, témoin de Farida[4],[3]. […] On se marrait, on faisait la fête, et puis surtout, on dansait, « J'étais très souvent chez Alaïa, on pouvait dormir chez lui, passer manger, s'habiller, c'est mon repère familial. Figure du Palace dans les années 1980, elle y croise ceux qui deviendront ses proches : les couturiers Jean Paul Gaultier (qu'elle avait déjà rencontré en 1979) et Azzedine Alaïa, (« Les deux meilleurs, ceux que je respecte le plus »), ainsi que le chausseur Christian Louboutin, Arielle Dombasle, Vincent Darré, qui deviendra décorateur par la suite, ou encore le couple de photographes Pierre et Gilles, « tous de milieux sociaux très différents » précise-t-elle. ! Farida Khelfa naît et grandit aux Minguettes, une banlieue lyonnaise, au milieu de huit frères et sœurs. Et pourquoi ? des dinosaures, voici l'encyclopédie biographique, J'ai pris ma caméra et je l'ai suivi[10]. tolérante, bienveillante, mais rigoureuse 20 février 2008 : Sortie de Paris de Cédric Klapisch. Elle se fait pourtant très vite remarquer par sa prestance, mais également parce qu'elle est, à l'époque, le premier mannequin « beur » qui soit aussi exposé médiatiquement. Dernièrement, on apprenait qu'elle avait été témoin de Carla Bruni au mariage avec Sarkozy, elle apparaît en manteau léopard dans le Paris de Klapisch. Avant l'été 2012, grâce à la complicité d'Inès de La Fressange[4], elle devient l'égérie publicitaire de Schiaparelli[20],[21], maison de couture renommée des années 1940[11]. Mai 2008 : Sortie de Française de Souad el-Bouhati. Et tous soulignent une tchatche redoutable qui télescope verlan, arabe et gouaille parisienne, qui «chambre à mort» ; pour Azzedine Alaïa, elle est «la nouvelle Arletty». Ce n’était pas seulement ces traits magnifiques, mais cette façon de se tenir, très altière, une noblesse naturelle sans rien de prétentieux »[6]. Farida Khelfa naît en 1960 dans le 2e arrondissement de Lyon de parents algériens, dont elle conserve la nationalité[1] (elle n'obtient la nationalité française qu'à l’âge de 30 ans). J'ai pris ma caméra et je l'ai suivi, « Le Palace était à son apogée en 1978, avant que les Bains-Douches ne prennent la relève. Conformément aux dispositions légales, vous pouvez demander le retrait de votre nom et celui de vos enfants mineurs. Remarquée par Jean-Paul Gaultier, qui lui demande de défiler pour lui en 1979, puis par Thierry Mugler, rien ne la prédisposait à devenir mannequin : c'est « une des personnes les moins sûres d'elles que j'aie pu rencontrer » souligne Marie Colmant[2]. personnalités présentes sur Mais c'est la même année dans Les Keufs de Josiane Balasko qu'elle se fait remarquer pour la première fois en tant qu'actrice. Origine, signification, caractère des Farida, popularité... Découvrez toutes les infos sur le #prenom Farida {{ media.date_translated }}. Elle est aussi amie avec l'actrice Marine Delterme. Après la disparition La journaliste Marie Colmant, qui la rencontre en 1983 : «Si elle avait pu disparaître dans le mur, elle l'aurait fait ! Le couple a deux fils, Ismaël et Omer. Elle défile pour la dernière fois pour Alaïa en 1993 et se consacre à la comédie. Si bien qu'on n'en revient pas qu'elle se fasse imprécise sur sa date de naissance, pour brouiller les pistes sur l'âge. L'année suivante, elle fait un reportage sur Christian Louboutin : « j'ai réalisé que cela faisait un temps infini que l'on se connaissait. contemporaine et filiative de l'Homo «c'était tabou, et c'est comme ça qu'on grandit sans repères, dans la douleur, qui se transmet à travers les générations, et qui finit par exploser; pas dans la rebéllion aux parents car dans l'islam, c'est «Tu honoreras tes parents» .Seuls bols d'air, les rigolades et la solidarité entre frères et soeurs, et l'école de cette mairie communiste «où les enseignants s'intéressaient vraiment à [eux]».